À Buenos Aires, a été commémoré dans un climat très lourd un nouvel anniversaire de l’attentat contre la mutuelle juive Amia qui a fait 85 morts et 300 blessés en 1994, un attentat attribué à l’Iran par la justice argentine. Le gouvernement a signé il y a quelques mois avec l’Iran, qui n’a jamais voulu livrer les suspects, un accord par lequel il s’engage à contribuer à la recherche de la vérité. Mais en Argentine, on craint qu’il ne serve qu’à dédouaner Téhéran.