Le gouvernement vénézuélien a vivement réagi à l’accueil que le président colombien Juan Manuel Santos a réservé à l’opposant Henrique Capriles, candidat malheureux à l’élection présidentielle du 14 avril dernier. Cette visite mettrait en péril les bonnes relations entre le Venezuela et la Colombie, Caracas envisagerait même de se retirer du processus de paix entamé il y a plusieurs mois à Cuba entre la guerrilla des FARC et le gouvernement colombien.