Les éditions Les Presses littéraires vient de publier un livre de Jérémie Schwartz, inspiré d’une de ses vies qui la conduit en Amérique latine et en particulier dans un Équateur postapocalyptique.
Photo : Editeur
Jérémie Schwartz est né en 1986 dans une ville engloutie que l’on appelait Paname. Aîné d’une famille nombreuse et aimante, il a eu de nombreuses vies, comme tout un chacun. L’une d’entre elles l’a conduit en Amérique latine, une autre, au plus près des réfugiés. À la trentaine, il se lance dans l’écriture. Terres impromises est son premier ouvrage. Recueil de nouvelles géopolitiques, il est suivi, quelques mois plus tard, par C’était mieux maintenant, un hommage au XXIe siècle sous forme de chroniques. Le rire des machettes, tiré de ses nombreux voyages en Équateur, est son premier roman.
Dans un Équateur postapocalyptique où il n’y a plus ni jour, ni nuit, les évangélistes dominent les âmes. Menés par leur chef charismatique, Lucio Gómez, alias le Révérend, ils ont fait de ce petit pays andin un paradis puritain. Mais un meurtre sauvage vient mettre le feu aux poudres. Car perpétré en terre catholique. Sur la côte, chez les Montuvios, où tous portent machette et large chapeau. Andrea Costa, gouverneur de la région, refuse que les siens soient montrés du doigt. Elle devra prouver au pays entier que les criminels viennent d’ailleurs. La vérité ou la mort. Du bidonville des bus aux monts enneigés du volcan Cotopaxi, une quête de justice qui la conduira sur les traces du tant redouté cartel de l’eau.
D’après l’éditeur
Le rire des machettes par Jérémie Schwartz aux éditions Les Presses littéraires, 266 p. 19 euros.