Chaque semaine, nous réservons un espace dédié aux événements et aux invitations. Désormais, cette rubrique sera mensuelle et mise à jour chaque semaine, et archivée sur notre site pour toute consultation dans la rubrique «Agenda» durant 24 mois. Si vous souhaitez communiquer sur un événement, il vous suffit de nous envoyer un courrier électronique avec des informations susceptibles d’intéresser nos internautes en indiquant simplement le titre de votre manifestation, le lieu, la date et l’heure, un visuel et surtout l’adresse de votre site internet ou de vos réseaux sociaux où se trouvent les détails de vos activités. La une de notre agenda de novembre est réservée à l’exposition de Carmen Mariscal – L’épouse menottée à la Maison de l’Amérique latine de Paris… à ne pas manquer !

 

3 NOVEMBRE – 20 H / LE HASARD LUDIQUE – PARIS / CONCERT

Le trio Ghetto Kumbé, sa house afro-colombienne et ses percussions caribéennes à Paris

Venu tout droit de Bogota, le trio des Ghetto Kumbé réunit trois musiciens virtuoses originaires de la côté caraïbes colombienne. Un combo de sorciers chanteurs et percussionnistes qui convoquent les publics du monde entier et les esprits païens de la rumba digitale et consciente. Impossible de résister à leur rituel de danse-transe. En cause, un élixir puissant à base de percussions, de beats électro caribéens, de rythmes traditionnels ouest africains et afro-colombiens, le tout gorgé de techno/house. SUITE

 

3 NOVEMBRE – 20 H 30 / ALIMENTATION GÉNÉRALE – PARIS / CONCERT

«Fanfarinha», bal brésilien fanfaron à l’Alimentation Générale à Paris

Au rythme frénétique des sambas et choros, frevos et forrós, les fanfarons de Fanfarinha vous feront danser comme si vous étiez derrière les blocos et cordões de carnaval dans les rues de Rio de Janeiro. Vous n’en sortirez pas indemnes! Les mélodies entêtantes colleront à vos oreilles comme du chewing-gum sur le bitume brûlant de Rio… SUITE

 

5 NOVEMBRE – 20 H / FONDATION CARTIER – PARIS / LECTURES

Lectures, séance d’écoute et discussion avec Guillermo Sequera, anthropologue et ethnomusicologue paraguayen

Lors de cette soirée, Guillermo Sequera, anthropologue et ethnomusicologue paraguayen, invite Magali Sequera pour une lecture des récits mythiques à deux voix en Tomárãho et en français, ainsi que le luthiste Alex de Valera pour une évocation en musique des liens entre la Renaissance et la musique traditionnelle d’Amérique du Sud. Il reviendra aussi sur son travail et ses recherches, le Paraguay et les communautés indigènes rencontrées lors d’une discussion avec l’anthropologue Pierre Déléage. SUITE

 

6 NOVEMBRE – 20 H / OPÉRA DE LYON / CONCERT

Un groove psychédélique venu de Bogota avec Meridian Brothers et le Quatuor Wassily à l’Opéra de Lyon

Cela fait 20 ans que le musicien colombien Eblis Alvarez a créé les Meridian Brothers. Originalement conçu comme un outil qui diffuserait ses compositions, généralement jouées en solo, le projet s’est mué en un quintet qui s’appuie sur les musiques dites tropicales (cumbia, salsa, chicha, merengue) pour produire une musique à la fois ludique, expérimentale et psychédélique. Eblis Alavarez est un des acteurs les plus importants de la nouvelle scène de Bogota. Guitariste, il étudie le jazz et la musique classique dans sa ville natale, puis la composition électronique à l’Académie Royale du Danemark. De retour en Colombie, il redécouvre les musiques tropicales populaires qui deviennent la matière première des expérimentations des Meridian Brothers – mais il continue également son activité de compositeur classique. Eblis est aussi impliqué dans grand nombre de projets colombiens tels que Frente Cumbiero et Los Pirañas, qui tous ont contribué à redéfinir la dynamique qui existe entre musiques savantes et populaires en Amérique Latine. SUITE

 

8 NOVEMBRE – 20 H 30 / ALIMENTATION GÉNÉRALE – PARIS / CONCERT

Concert du collectif Zabumba à l’Alimentation générale à Paris pour une roda de Samba

C’est la rentrée de Zabumba ! Le collectif accro aux grooves brésiliens Zabumba vous donne rendez-vous pour une roda de samba ! La roda de Samba est une tradition populaire carioca. Elle réunit percussionnistes et chanteurs autour du cavaquinho (petite guitare s’apparentant au ukulélé). On vous y attend chaud et motivé pour danser et chanter la vie ! Rendez-vous tous les premiers jeudis du mois avec le collectif accro aux grooves brésiliens Zabumba pour une roda de samba ! SUITE

 

8 NOVEMBRE – 19 H / MAISON DE L’ARGENTINE – PARIS / EXPOSITION

Vernissage «Planches de Salut. BD argentine alternative» à la Maison de l’Argentine à Paris

Cette exposition présente une sélection de 14 autrices et auteurs à travers 92 planches et illustrations qui reflètent les modes de création et d’édition alternatifs apparus entre la fin des années 1990 et le début des années 2000. À cette époque, l’Argentine est exsangue suite aux politiques économiques du gouvernement de Carlos Menem. Face à la disparition de la grande majorité des revues et des structures éditoriales, les artistes se tournent vers le fanzinat et l’auto-édition. À force de débrouille et de nuits sans sommeil, ils et elles ont participé à la remise à flot de la bande dessinée argentine et reflètent plus que jamais sa grande vitalité. SUITE
 
 
DU 6 AU 11 NOVEMBRE / MAISON DES MÉTALLOS – PARIS / THÊATRE« 

«Acceso», résistance d’un enfant des rues chiliennes, un spectacle de Pablo Larraín avec Roberto Farías

Pour survivre, Sandokan doit vendre aux passagers des bus de Santiago une panoplie d’objets, pour la plupart inutiles. De sa sacoche, il extirpe des peluches, un peigne, des livres, la constitution chilienne et… son enfance volée jusqu’à l’impensable. Il porte sur lui les séquelles de son histoire personnelle : celle d’un enfant maltraité, victime d’abus sexuels par des prêtres, abîmé et meurtri de manière irrévocable, au plus profond de sa chair. Sur le mode de l’interpellation, il nous plonge dans l’univers des enfants des rues chiliennes et expose avec férocité la réalité de l’exclusion et de la réclusion, la violence dont sont victimes les plus pauvres. Cruels et crus, ses mots sont les mots de l’échec, de la chute et du chaos, mais aussi ceux de la résistance et de l’amour… SUITE

 

9 NOVEMBRE – 21 H/ MAL – PARIS / CONFÉRENCE

Rencontre avec le Franco-Argentin Miguel Benasayag à l’occasion de la parution de Fonctionner ou exister ?

Résister à l’ère des nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. Pour tous ceux qui refusent de gérer leur vie comme on gère une entreprise, une philosophie de combat dans un livre coup de poing. A une époque où on nous demande de gérer nos existences comme on gère des entreprises, où les technologies digitales nous promettent de nous débarrasser des complications de la vie, le livre de Miguel Benasayag s’adresse à tous ceux qui ne veulent pas céder à cette peur qui nous invite à «entrer dans la cage pour notre plus grand bonheur». SUITE

 

14 NOVEMBRE  – 19 H / MAL – PARIS / CONFÉRENCE

Makenzy Orcel et Daniel Lefort à la Tribune des fictions de la Maison de l’Amérique latine de Paris

Une rencontre bimestrielle consacrée à l’actualité éditoriale et aux nouvelles voix de la littérature de fiction d’Amérique latine, animée par Patrick Straumann. Les romans et récits présentés sont discutés en présence des auteurs ou de leurs traducteurs. Retrouvez l’auteur haïtien Makenzy Orcel pour son livre Maître-Minuit paru aux éditions Zulma, et Daniel Lefort pour le livre de Alonso CuetoLa passagère du vent, traduit par Aurore Touya. SUITE

 

14 NOVEMBRE  – 20 H 30 / ALIMENTATION GÉNÉRALE – PARIS / CONCERT

«Salsa, Ritmos y Sabores» à l’Alimentation générale à Paris avec La Pimienta

La Pimienta revisite avec flamme l’âge d’or de la salsa, en s’inspirant des clubs mythiques de New York, de La Havane, de Puerto Rico, pour embraser la piste : c’est du rythme 100% caliente, 100% baile. Une salsa sur orbite qui offre aux danseurs un voyage musical, sur des morceaux inédits, toujours immortels. La Pimienta à découvrir d’urgence et apprécier avec excès ! De 20h à 2h du matin ! Venez danser et partager un moment de salsa… SUITE

 

DU 16 NOVEMBRE AU 2 DÉCEMBRE / FILMAR EN AMÉRICA – GENÈVE / FESTIVAL

Le festival Filmar en América latina fête ses 20 ans du 16 novembre au 2 décembre à Genève

La culture cinématographique latino-américaine en Suisse s’apprête à faire sa grand-messe à Genève du 16 novembre au 2 décembre 2018 avec la 20e édition du Festival FILMAR en América Latina ! Piloté par le Comité de l’Association Cinéma des Trois Mondes, avec le soutien des autorités genevoises, le Festival FILMAR s’intéresse aux films d’auteurs et indépendants latino-américains avec une programmation une fois encore riche et variée. Et pour fêter dignement son 20e anniversaire, le festival, cette année, a développé un programme dédié à l’histoire du festival et du cinéma latino-américain de ces 20 dernières années ! SUITE

 

19 NOVEMBRE – 20 H / FONDATION CARTIER – PARIS / CONFÉRENCE-DÉBAT

Dans le cadre de l’exposition Géométries Sud, une soirée nomade partagée avec Anne Pastor

La journaliste Anne Pastor vous emmène sur une île au cœur du lac Titicaca où un homme mène l’enquête sur les symboles des tissages indiens. Suivi d’une rencontre avec Émilie Rousset et le linguiste Pierre Pica discute avec la metteure en scène Émilie Rousset du système mathématique et géométrique élastique des Indiens Mundurukus d’Amazonie. Puis l’artiste Benjamin Verdonck crée une fantaisie graphique et abstraite en tirant les ficelles d’une boîte à images, mobile et musicale. SUITE

 

DU 12 OCTOBRE AU 20 DÉCEMBRE / MAL – PARIS / EXPOSITION

L’épouse menottée, une installation photographique et sculptures de la Mexicaine Carmen Mariscal

La première exposition de l’artiste mexicaine Carmen Mariscal (Palo Alto, Californie, 1968) à la Maison de l’Amérique latine s’inscrit dans le fil de préoccupations irriguées à la fois par une mémoire familiale prégnante et sa vie personnelle. Elle confirme la posture d’une femme-artiste sensible et engagée dans les multiples voies d’une cause féminine qu’elle aborde dans une douce radicalité. C’est en partant de l’individuel pour aller vers le collectif que Carmen Mariscal a pensé sa dernière installation sur la condition de la femme dans le mariage. SUITE